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Les NAC méritent une bien meilleure protection

Aujourd'hui, n'importe qui peut pousser à Bruxelles la porte d'une animalerie pour acheter un NAC (reptile, rongeur, oiseau, poisson...) sans se soucier le moins du monde :

  • des besoins comportementaux élémentaires de l'animal ;

  • de son origine, de ses conditions de transport, d'élevage ou de capture ;

  • de l'absence complète d'identification et d'enregistrement de l'animal.

C'est pour remédier aux (très) nombreux problèmes que posent cette situation de laisser-faire que fin novembre, j'ai déposé aux côtés de Gaëtan Van Goidsenhoven et d'autres collègues députées, Dominique Dufourny et Aurelie Czekalski, une proposition de résolution au Parlement bruxellois, qui invite le Gouvernement à adopter une série de mesures.

Long de 27 pages et de 24 propositions très concrètes, le texte que nous avons déposé se veut un programme complet et pragmatique des multiples manières d'éviter de vives souffrances à ces animaux vendus comme de vulgaires objets, notamment par une régulation de ce commerce (qui, si cela ne tenait qu'à moi, n'existerait pas).


Cette proposition est le résultat d'un long travail de consultation de différents experts (vétérinaires, avocats, responsables de refuges...), qui a permis d'identifier les principaux problèmes et les réponses à y apporter.


Nous attendons maintenant que le texte soit pris en considération par le Parlement et qu'il puisse être débattu.

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